Food-truck de l'époque préhipsterique (photo Yann Arthus-Bernard) |
Back from nulle part ! En voilà une surprise, n'est-il pas. C'est à croire que notre absence accéléra la décrépitude de la civilisation paranoïaque à laquelle nous sommes inféodés ? Hum. Ces mots écrits courant février (eh ouais...) résonnent d'autant plus singulièrement en pleine réorganisation sanitairement contrainte du quotidien. C'est la valse des logiques et le tempo est plutôt bancal : on en vient à prescrire un temps minimum loin des écrans, quel comble... Mais bon dieu la meilleure hygiène domestique qui soit, c'est la musique !! Avouez d'ailleurs que ça vous manquait, les exhumations vinylifiques (sic) servies par le style inimitablement ampoulé de notre rédacteur insomniaque ! Il n'y a pas de honte à cela. Nonobstant, la publication de chroniques plus ou moins obscures fait-elle encore sens en 2020, alors que le vaste Internet permet, après désinfection, d'écouter et/ou acheter à peu près toute la production discographique passée ? L'explication tient en quelques phrases compliquées que nous n'écrirons pas. Profitons plutôt du moment présent sans trop faire chier les voisins (et réciproquement). Restons dignement deep et nous mourrons tranquilles.
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